Enlevement en Castel de Flandres

Le garde foret arriva devant le labyrinthe et pénétra sans hésitation en criant

-Mad"moizelle, me voilà !! Ou êtes vous ?

Constance se dit que c était tout lui ça en arborant une moue désabusée et répondit en criant.

-Si je le savais, je ne me serai pas perdue.

Messages : 247 Date d'inscription : 15/04/2008 Age : 37

sitôt ordonné sitôt exécuté le jeune sénéchal se lance a la suite de l'homme et du comte. Le paysans avait l'air sur de lui et se dirigeait d'un pas sur et rapide vers ce qui ressemblait de loin a un bosquet bien taillé.
Une fois plus proche le sénéchal put s'apercevoir qu'il s'agissait d'un labyrinthe. Tout en courant les hommes pouvaient entendre s'élever du lieu des cris d'enfant apeurée. Une fois devant le labyrinthe le comte et le sénéchal ne purent voir que l'ombre du paysans s'engager. Ils eurent un instant d'hésitation qui suffit a leur faire perdre la trace du "sanglier".

Thierry, nous l'avons perdu. Les cris semblent venir du centre du labyrinthe.

Réfléchissant aussi vite qu'il le pouvait le sénéchal eut une idée, certes peu délicate, mais une idée tout de même. Il avait une épée, sans doute quelques vulgaires plantes n'y resteraient pas. Il saisit alors la lame du père de la comtesse en commença a taillader les haies s'aidant en donnant de grands coups de pieds dans les arbustes.

Messages : 255 Date d'inscription : 08/03/2008

Thierry regarda Gardakan donner des coups d'épée dans le feuillage, ma foi l'idée n'était pas si mauvaise, il se placa a coté de lui et engagea le combat contre les haies.
Taillant et coupant, l'affaire semblait néanmoins difficile mais réalisable, ils avancaient petit a petit tout en restant a l'écoute des cris de l'enfant.

Constance entendait des bruits bizarres, d épées et de branchage.
Se pourrai t il que Bernold et son gros gabarit traverse les haies ?
Mais il en mettait du temps

-Bernooooooooooooooooooooooooold, dépêche toi. J en ai marre de toutes ses horribles plantes vertes qui ne sentent même pas bon. On devrai tout faire bruler.

L homme courrait dans le labyrinthe, mais entre les sens interdit, et les culs de sacs, difficile de retrouver l enfant....même en se guidant avec sa voix.
Et Constance s asseyait, accroupie, serra ses genoux, enfouissant sa tête, inquiète des bruits se raprochant

Messages : 247 Date d'inscription : 15/04/2008 Age : 37

Avançant avec peine le jeune sénéchal avec l'aide du comte arriva enfin a l'endroit ou la fille hurlait.
Elle était rouge a force de crier mais elle restait très mignonne. C'était un très jolie jeune fille qui se tenait devant eux.
Ne prenant pas une seconde pour reprendre son souffle il s'accroupit a coté d'elle avec respect et avec un sourire bienveillant sur les lèvres. Il lui présenta alors l'épée que lui avait confié la comtesse.

chère Enfant, reconnaissez vous cette arme?

Constance releva la tête en voyant les inconnus arriver. Encore des visiteurs du comte pensa t elle en les examinant minutieusement.
L un deux s agenouiller et lui présenta la lame de son père.
Un armée magnifique que son père lui montrait souvent pour lui raconter des épisodes de sa vie...
Comment était elle arrivée en sa possession.
Elle prit délicatement l épée en se redressant

-C est l épée de mon père....

Puis elle le regarda, serra l épée contre elle, l air triste, et lui donna un coup de pied dans le tibia.
Elle se recula et cria:

-BERNOOOOOOOOOOOOOOOOOOOL

-J arrive mad'moizelle

Le fait est de constaté qu il n arrivait pas et que Constance l attendait en tournant le dos aux étrangers et tapant du pied à terre

Messages : 255 Date d'inscription : 08/03/2008

Thierry s'approcha de la fillette qui serrait l'arme dans ses bras.
Il sourit en la voyant donner un coup de pied a Gardakan, mais se demanda si ses cris n'allaient pas ameuter des gardes.
Constance calme toi, nous sommes venus te chercher a la demande de ta soeur Eleonore, elle nous a confié cette épée pour que tu saches que c'est elle qui nous envoyait, je devais porter une bague mais je l'ai oubliée dans la précipitation du départ.
Il s'agenouilla près de l'enfant
Crois moi, si tu viens avec nous, ce soir tu seras en sécurité auprès de ta soeur.

Messages : 247 Date d'inscription : 15/04/2008 Age : 37

Alors que le jeune Gardakan s'était paré de son plus gentil sourire il reçu un vilain coup de pied dans le tibia et se fit dépouiller de son épée. Bien triste revirement de situation. En plus de la douleur lancinante dans son tibia la fille hurlait ce qui risquait d'attirer les gardes. Alors que le comte essayait de la calmer le jeune sénéchal regretta qu'ils n'aient pas pensé a récupérer la bague. Quoi que la fille eu sans doute pensée qu'ils l'avaient volée au même titre que l'épée.

Mon enfant écoute donc m'sieur le comte. Nous sommes tout deux des amis de ta soeur. Tu a d'ailleurs les mêmes yeux qu'elle. Je t'en prie rend moi cette épée

Sans attendre une réponse il récupéra l'arme des mains de la fille.

Si nous étions venu pour te faire du mal, et si nous étions au service du comte, pense tu que nous serions obligé de nous cacher? Si tu veux une arme je te donne cette dague.

Le sénéchal prit alors la dague ouvragée qui pendait a se ceinture, celle qu'il avait récupérée dans l'armurerie avant de partir, et la tendit a la fille.

Si jamais je te ment tu pourra me l'enfoncer entre les cotes plus tard mais je t'en prie suit nous. Ta soeur t'attend. Et si le comte nous tombe dessus je ne donne pas cher de nous.

Ils disaient venir de la part de sa soeur, mais rien ne le lui prouvait. Phillipe avait dit qu elle était restée au couvant et il l avait emmenée ici, alors elle avait accepter le cadeau du jeune homme et l avait placée à sa taille.
Ils étaient, beaux et rassurant, l accent parisien, l autre plus paysou, mais ils ne s étaient pas présentés.
Si Eleonore lui avait vraiment "prêté" un objet d une telle valeur, elle avait surement du penser à...

-Permettez.

Elle reprit l épée de ses grandes mains et dévissa le pommeau de l arme avant de saisir un bout de parchemin plié et replié à l intérieur, puis après dépliage silencieux, elle alla lire l écriture d Eleonore: "Suis le sénéchal Gardakan jusque Pierrefond"
Alors ils disaient vrai, et se n étaient pas une ruse. Elle regarda le détenteur de l épée

-Vous êtes sire Gardakan, le sénéchal ? Bienheureux que se soit à moi de découvrir votre identité

Têtue, et orgueilleuse, elle haussa les sourcils.
Elle revissa l épée et la lui tendit, puis se tourna vers le second bonhomme agenouillé devant elle et planta son regard dans le sien

-Et vous êtes ? Mis à part un ami de ma soeur...

Messages : 255 Date d'inscription : 08/03/2008

Thierry Comte de Paris pour vous servir mademoiselle, répondit Thierry inclinant légérement le buste
Bien puisque les présentations sont faites et qu'enfin vous nous croyez peut etre pourrions nous prendre le chemin du retour, un ami nous attend avec nos chevaux a l'orée du parc, avec un peu de chance nous sortirons sans encombre d'ici et serons bientot a pierrefonds.

Messages : 247 Date d'inscription : 15/04/2008 Age : 37

Mademoiselle si vous voulez bien nous suivre. Je pense que vostre soeur s'impatiente et s'inquiete.
Si tout vas bien nous serons bientot chez elle. Et pardonnez moi de ne m'etre presenté plus tot. Je suis en effet le senechal de Paris, Gardakan.

Bernold était arrivé non loin du regroupement au dernier cris de l enfant, puis il s était caché derrière une haie et avait écouté les explications.
Ainci la petite serai rendue à sa famille, loin du vil comte de Flandres. Il était heureux pour elle.
Il prit subtilement la direction du château, il lui fallait trouver Sophie et Edgard pour préparer les affaires de la petite, à faire envoyé à Paris.
Mais revenons au labyrinthe et au sénechal:

-Je vous pardonne, mais je n oublis pas.

Elle lui offrit néanmoins un sourire avant de reprendre son sérieux et de dire au comte

-Votre grâce, menez moi à ma soeur.

Après avoir chercher longtemps l enfant dans sa zone, Sophie s inquiéta de sa disparition et se souvint de ses paroles: "les gardes sont là pour moi..."
S était elle enfuie ?
La bonne se rendit donc à la porte la plus proche et mit au courant les deux gardes présents qui filèrent dans le jardin à toute vitesse, laissant Sophie s assoir seule sur les escaliers, quelque peu desesperé quand a son avenir dans la maison de Flandres.

Messages : 255 Date d'inscription : 08/03/2008

Gardakan j'entend des gens courir, dépéchons nous.
Thierry prit la main de la fillette et s'enfonca dans le bois.

Messages : 247 Date d'inscription : 15/04/2008 Age : 37

Le jeune sénéchal sourit de toute ses dents. Une mission menée a bien, sans accroc et sans une goutte de sang. Voila qui est parfait se dit il intérieurement.

Je vais vous ouvrir le chemin, il est temps de sortir de ce labyrinthe. Je me sens un peu a l'étroit la dedans.
Je passe devant, vous mademoiselle me suivrez aux cotés du comte si vous le voulez bien.

N'attendant pas la réponse le jeune homme reprit donc le chemin inverse, notant au passage l'état lamentable dans lequel le comte et lui même avaient mis le lieu. Un sourire aux lèvres et une main négligemment posée sur la garde de la belle épée a son coté le sénéchal ne fit pas attention aux bruits provenant de l'extérieur du labyrinthe. Pourtant, avec un peu d'attention, sans doute aurait il put entendre le bruit d'une lame qui sortait de son fourreau ainsi que celui de deux lourdauds haletants se préparant au combat.

Alors qu'il était a lla sortie, c'est le moment que choisirent deux gardes pour fondre sur le groupe. Le sénéchal eut a peine le temps de sortir son épée de son fourreau qu'un des hommes fondait sur lui. Le deuxième se précipitant sur le comte.

Alors que le premier garde était sur lui le sénéchal eu le temps de se remémorer quelques leçons de son précepteur. "Tuer d'estoc n'est pas artistique, si tu a la choix frappe plutôt de taille, c'est ainsi que le bretteur aime a vaincre.", "si jamais tu est acculé, ne réfléchie pas, frappe. Le bretteur tient plus a sa vie qu'a la beauté d'une victoire", "n'oublie pas qu'une épée n'a pas qu'une lame, tout ce qui compose une épée peut te sauver la vie.", "Lorsque tu frappe de taille, incline toujours ta lame de sorte que ton poignet soit protégé". Toute ces leçons lui revenait en tête au début de chaque combat. De nombreuses lecons lui avaient déjà sauvé la vie, lors des quelques conflits qu'avaient engagés son "père" auxquels il avait participé.

L'homme en face de lui était maladroit et cela fit monter un sourire aux lèvres du sénéchal. A chaque fois qu'il porte un coup il se penche sur la droite, offrant son flanc gauche a la lame de son adversaire. Une fois que le sénéchal eu comprit cette faute dans la défense de son adversaire le sénéchal se détendit. Il savait que la victoire était pour lui. Sans effort et avec un sourire, le jeune sénéchal se déporta sur la droite, alors que le garde se fendait d'une parade grotesquement exagérée, et laissa sur le bras de combat se son assaillant une légère entaille rougissante. Respectant les préceptes que son père lui avait apprit Gardakan fit alors un pas en arrière, et en gentilhomme proposa:

Abandonne tu?

Le visage du garde se fendit alors d'un sourire carnassier. Il était de ces hommes qui mourrait mais n'abandonnais jamais. Son maître le tuerais sûrement si tel était le cas. Alors que la tache carminée grossissait le long du bras du garde, le jeune sénéchal recula attendant une faille. "Lorsque ton adversaire est énervé tu n'a qu'une chose a faire, attendre son erreur".
Reculant petit a petit le sénéchal attendit l'erreur. Malheureusement ce fut lui qui la commis, il ne s'était pas rendu compte qu'a force de reculer il était très proche des arbustes ceignant le labyrinthe, et lorsque son dos heurta un arbre le sénéchal s'effondra sur le sol. Les yeux déformés par la surprise le sénéchal ne put qu'éviter partiellement le coup d'épée de son adversaire profitant de la situation. Le jeune homme grimaça lorsque la lame pénétra dans la partie supérieure son épaule gauche et vint heurter son os. Ce salopiot de garde ne l'avait pas blessé profondément mais le sénéchal fut prit d'un violent accès de fureur et se releva puis se rua sur le garde. Ce dernier n'attendant pas une réaction si soudaine ne put parer le coup d'épée du sénéchal qui enfonça profondément la lame dans la poitrine du garde.
Alors que Gardakan retirait son épée laissant le garde s'écrouler il put le voir vomir du sang avant de rendre son dernier soupire.
Lorsqu'il tourna le sénéchal aperçut que le comte avait lui aussi réussi a vaincre son adversaire. Mais ce dernier ne semblait pas mort. Le sénéchal put voir la poitrine du garde se lever et s'abaisser au rythme de sa respiration.

Messages : 255 Date d'inscription : 08/03/2008

Thierry l'avait prévenu mais Gardakan n'avait pas fait attention a ses propos, plus posé que son ami, il avait déja sorti son épée, quand les deux gardes leurs tombèrent dessus.
Cela faisait un moment qu'il n'avait combattu, mais les longues heures d'entrainement payaient et il retrouva toute son adresse pour contrer le garde qui semblait bien lourdaud.
Durant la bataille Thierry vit que le rustre n'était pas un bretteur de premier ordre, il contrait facilement les attaques portées.
Profitant d'une nouvelle tentative, il contra et bloqua l'épée adverse, un coup du poignet lui permit de désarmer l'homme, qui commenca a reculer tandis que Thierry lui pointait son épée sur la gorge.

J'ai un message pour ton maitre, dis lui que le Comte de Paris le salue bien et qu'Eléonore de Valois a retrouvé sa soeur qu'il détenais.

Durant qu'il parlait, Thierry s'était approché peu a peu de facon a etre a portée de main.
A peine la dernière parole envolée, il lui assèna un violent coup de poing qui assoma le garde.
Il tourna la tete et vit Gardakan a terre qui se relevait et enfoncait son épée dans le corps du second garde.

Hé bien mon ami, joli travail, déguerpissons en vitesse si nous ne voulons pas avoir toute la maisonnée sur le dos.

Il prit la main de la fillette a qui il avait dis de rester cachée et courru vers la sortie du parc.

Gardakan tu saignes, comment te sens tu? tu pourras chevaucher?

Messages : 247 Date d'inscription : 15/04/2008 Age : 37

Le sénéchal regarda son épaule a laquelle collait le coton rougi de sa chemise.

Oui ne vous en faite pas vostre Grandeur. Heureusement la lame a buttée contre l'os. Je tiendrais jusqu'à Pierrefonds sans aucun problème. Je ne suis pas en sucre.

Prononçant ces mots le sénéchal pensa a la flasque d'alcool dans une des besaces. Cela l'aiderait sans doute a bien mieux supporter le voyage retour.

En avant, ne traînons pas.

Messages : 255 Date d'inscription : 08/03/2008

Les deux hommes arrivaient a l'orée du parc, la fillette avait du mal a suivre le pas.
Thierry prit Constance dans ses bras.
Voila nous avancerons plus vite.
Gardakan je vois le bout du chemin, tiens bon, j'espère que Francois ne s'est pas endormi.
Je te laisse l'appeler après tout c'est ton élève pas le mien dit Thierry dans un sourire.

Messages : 247 Date d'inscription : 15/04/2008 Age : 37

Le jeune sénéchal eut un sourire las. Mine de rien il perdait un peu de sang. Pas de quoi le tuer mais assez pour planer un peu.

Fraaannnnncccoiiiiiisssss attrape moi vite la flasque dans une des besaces et prépare les chevaux.... et le poney. On va filer d'ici ca commence a devenir un peu inhospitalier!!

Des gardes, O surprise, la main du comte la lâche, elle file se cacher derrière une haie du labyrinthe, regardant le combat entre les branches.
Cela ne dura que quelques instant, et elle pu les rejoindre, victorieux.
Elle eut le tend de voir la tache sur le haut de la chemise s étalée dans le tissu...tache rouge...il fallait le soigner.
Mais la course reprit de plus belle, d une main elle tenait un peu relevée les pans de sa robe, l autre moite dans celle du comte.
Ils courraient bien trop vite pour elle, et se qui devait arriver arriva, empêtrant ses pieds dans sa robe, déséquilibrées, sa main glissa et elle trébucha définitivement alors que les deux hommes continuaient.
Une douleur vive au genoux droit, tombé sur un cailloux, elle grimace puis se tourne regardant le chateau derrière elle.
Petit sourire mi triste mi serein, elle murmura

-Adieu

HEUREUSEMENT -faute de poster plus vite que l éclair - le comte de Paris -oui oui lui meme- s était aperçu qu il lui manquait quelque chose, petit trésors qui lui donnerai toute les faveurs de la comtesse, et s alarma, il regarda derrière lui, et rebroussa chemin, en courant toujours pour la rejoindre.
Il la souleva et la prit dans ses bras pour courir plus vite.
Arrivant bientôt, elle le sentait, elle aperçut un cheval, puis le sénéchal appela un certain François, ainci donc ils était trois mais elle ne le voyait pas.

Messages : 568 Date d'inscription : 09/05/2008 Localisation : La cité de Paris

Durant tout le trajet, Francois avait dût se retenir de se plaindre, trois jours à dos de poney c'était une épreuve, son dos, ses bras et ses jambes étaient endoloris. Il lui fallu beaucoup de courrage pour ne pas se plaindre, ce qu'il l'aidait c'était de penser que si il se plaignait, le Sénéchal le renverrait et le hic... C'est qu'il ne connaissait pas le chemin du retour...

Il ne parla guerre beaucoup durant le voyage, trop occupé à lutter ou à étouffer ses pleintes, ils arrivèrent enfin à déstination. Il faisait jour, Ils s'arrêtèrent non loin du parc d'un castel, on lui ordonna de rester à côté des chevaux, chose qui l'enchanta car il ne pensait pas savoir tenir sur ses jambes bien longtemps et ni faire usage de ses bras.

Bien votre grandeur... Bien Maîstre...

Il attacha les chevaux à un arbre et s'assit contre celui-ci, il regarda le Comte et son Maîstre s'éloigner puis il attrapa une besace, sortit un morceau de pain qu'il mangea, puis il but une bonne gorgée d'eau.

il passa le temps en se massant les jambes, elles le faisaient souffrir atrocement, il lutta aussi contre l'envie de dormir, il fallut même qu'il se mette des claques.

Enfin, ils enttendit la voie de son Maîstre qui lui demandait de préparer les chevaux, le poney et uen flasque, il sortit donc la flasque de la besace à portée de main puis il se mit les besace en bandoullière et enfin il détacha les chevaux attendant impatiement son Maîstre et les deux autres...

Messages : 255 Date d'inscription : 08/03/2008

Thierry sortit du bois portant Constance, il apercut Francois et se dirigea vers lui, il posa la fillette a terre.
Alors Francois, ca va? tu as pu te reposer un peu?
Ha oui j'allais oublier, je te présente Constance la soeur de la Comtesse.
Va t'occuper de Gardakan il a été blessé dans notre lutte avec les gardes.

Messages : 568 Date d'inscription : 09/05/2008 Localisation : La cité de Paris

Le Comte émerga le premier des buissons, tenant une damoiselle un peu plus jeune que Francois dans ses bras.

"Alors Francois, ca va? tu as pu te reposer un peu?"

Oui vostre Grandeur!

Il regarda la damoiselle...

"Ha oui j'allais oublier, je te présente Constance la soeur de la Comtesse."

Enchanté... Euh... Damoiselle...

Il s'inclina, il ne savait pas de quel titre il fallait la gratifié, il penserait à demander au Maîstre plus tard...

"Va t'occuper de Gardakan il a été blessé dans notre lutte avec les gardes."

Il se releva brusquement!

Le Maîstre est blessé!?

Il se jeta dans les buissons, la flasque dans les mains et courrut en direction de son Maîstre...

Maîstre! Maîstre! Vous allez bien!?

Ils avaient dépassé Gardakan, qui semblait fort pale et relentir sa marche, puis quelques mètres plus loin, le comte la posa a terre.
Constance examina le dict François alors que le bourgmestre l introduisait.
Elle ne lui répondit pas, affichant un air neutre...A sa surprise interieure, ce n était qu un enfant comme elle.
Petit par rapport aux hommes, le visage encore rond, des cheveux mi long décoiffé, et des yeux si bleux.....
Puis elle le vit partir aider le sénéchal....elle donnat un coup de pied dans le tibia du comte pour son presque oubli de présentation.
Non mais ! Il était peut etre comte, mais elle aussi !
Elle se tourna ensuite vers les chevaux, ignorant l homme, et caressa l encolure de l un deux en souriant. Cela faisait longtemps qu elle n en avait pas approcher.

Messages : 247 Date d'inscription : 15/04/2008 Age : 37

Oui oui je vais a peu prés bien François, ne t'en fait pas.

Le sénéchal attrape la flasque, la débouche, et laisse couler un flot de liqueur de prune dans sa bouche avant d'en asperger sa blessure.

une si bonne liqueur... quel gâchis. Si il n'était pas mort je retournerais le tuer ce malandrin!

Maintenant François monte vite sur ton poney, prend constance avec toi. Il est temps de rentrer a Paris.

Constance fit un gros calin au destrier, et alors que le comte avait le dos tourner vers le chateau, attendant ses amis, elle détacha les rênes et les mit autour du cou de l animal, puis se plaça à sa gauche et bidouilla l étrier pour le rallonger.
Elle attrapa ensuite une poignée de la crinière, mit son pied à l étrier et se hissa sur la monture, du comte ou du sénéchal, elle s en moquait.
Maintenant les étriers étaient beaucoup trop long, mais ça ne la dérangeait pas plus que ça, elle était presque née sur un cheval, sport pratiquer depuis très jeune.
Rênes raccourcies, elle se tint droite et attendit le retour des deux autres .

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