[RP] Bureau du bourgmestre

Henri II de Champagne commençait à aller mieux. Il avait reçu des réponses sur la gestion d'une Cité. L'expérience de Toulouse n'était pas inutile pour une petite bourgade comme Troyes. Il renvoya la missive au bureau du nouveau bourgmestre avec un petit billet.

Citation :

De Henri II Comte de Champagne au bourgmestre de Troyes, Salut.

Nous vous informons notre meilleur santé et vous apportons ci-joint une réponse du Chapître de Toulouse sur des informations commerciales.
Je vous invite à informer vos habitants des prix intéressants à plus ou moins un écu.


Cordialement,

Citation :

Votre Grandeur,

C'est avec plaisir que je vous transmet les prix que nous avons fixés pour la Cité de Toulouse. Ceux ci pourront vous guider, sachant que ces prix sont fixés en fonction de notre organisation interne et de la forte croissance de notre ville :

Graine de blé : 2.10 écus
Sac de farine : 3.50 écus
Pain noir : 6 écus
Pain blanc : 8 écus

Stère de bois : 4.50 écus
Planche de bois : 5.75 écus
Manche : 1.15 écus

Graine d'orge : 2.10


Je me permet, si l'époque est rude pour votre Cité, de vous proposer un echange commercial si vous étiez dans le besoin, dans la mesure de nos moyens.



Respectueusement,

Clotaire,
Seigneur du Chapitre.

Un autre billet suivi quelques heures plus tard, de la part du Comte qui reprenait toutes ses forces.

Citation :

Du Comte Henri II de Champagne au bourgmestre de Troyes, Salut!

Nous vous demandons de faire un rapport sur le nombre d'habitants de Troyes, leurs métiers, s'ils tiennent des échoppes.
Nous vous invitons aussi à leur envoyer moultes messages pour une information meilleur qui ne l'a été auparavant.

Cordialement,

Morzan revint à son bureau, la mine défaite, aucune de ses missives n'avait eu réponse, y compris celle qu'il avait adressé au comte lui même. Quelle ne fut donc pas sa surprise d'y trouver plusieurs missives provenant du comte, il les lut avec attention et prit une plume pour y répondre.

Citation :

Votre grâce,

Je vous remercie pour ces informations et en prend bonne note, je dois avouer que les troyens sont peu actifs pour l'instant, et cela me navre quelque peu, ayant envoyé de nombreux fois à plusieurs reprises, sans réponse...
Nous ne sommes actuellement qu'une petite dizaine, et vous semblez être, ainsi que moi même, les seuls possesseurs d'une échoppe en ville.

Je ne manquerais pas de vous informer de la situation si celle-ci évoluait de façon positive, ce qui n'est malheureusement pas encore le cas.

Respecteueusement

Morzan, bourgmestre de Troyes, mais avant tout votre obligé.

Citation :

Du Comte Henri II de Champagne au bourgmestre de Troyes, Morzan. Salut.

Nous vous informons que nous avons envoyé un chargement de 12 pains produits par mon boulanger personnel afin d'assurer la susbistance des habitants.

Vous possédez quelle forme d'échoppe?

Je me trouve en ce moment dans un choix cornélien puisque mon personnel ne peut à la fois être au champ et au moulin et il me semble impossible de proposer une offre de travail.

Ce matin, mon personnel qui est arrivé à Troyes m'a informé de l'absence d'offres d'emplois concernant le bois. Est ce une réalité?


Cordialement,

Morzan revint à son bureau, croisant au passage une jeune femme qui lui présenta spontanément son aide, chose qui le ravit et l'intrigua en même temps, aucune des missives envoyées jusqu'alors n'avait trouvé réponse. Il eut à peine le temps de balbutier quelques mots qu'elle était déjà repartie, qu'importe, il aurait le temps de lui envoyer une réponse écrite sur sa demande qu'il étudierait avec soin.

Un billet déposé sur son bureau, il le lut avec attention et prit sa plume pour y répondre, le comte se remettait peu à peu et entretenait maintenant une correspondance régulière.

Citation :

Votre grâce,

Vous me voyez enchanté de l'apprendre, j'ai donné ordre de racheter ces miches qui manquent tant en ville, au point que certains villageois en achètent plus que de raison.

Je possède en ce moment une menuiserie où j'espère produire bientôt de belles planches de bois qui serviront en ville.

Si vous n'arrivez pas à mander votre personnel au champ et au moulin, je puis vous vendre farine et blé en quantité suffisante sur le marché, je n'ai besoin pour cela que de votre accord. Je tiens à vous signaler également que du pain blanc, que vous appréciez sans doute, reste en vente sur le marché.

Pour les embauches de coupe de bois, j'ai dû en effet les réduire, celles-ci étant coûteuses pour la ville, et peu productives pour les jeunes paysans présents en ville.
J'ai néanmoins pourvu des offres pour garder notre ville contre les brigands de tout poil, ce qui permettra bientôt aux villageois, du moins, c'est mon souhait le plus cher, d'acquérir des échoppes afin de soutenir l'activité de Troyes.

Respecteusement

Morzan, votre dévoué bourgmestre de Troyes

Citation :

Du Comte Henri II de Champagne au bourgmestre de Troyes, Morzan. Salut.

Mon boulanger m'a fait part de ses inquiétudes vis-à-vis du marché de Troyes. Il semble que le nombre de pain ne soit pas produit de manière assez conséquente.
Je lui ai ordonné d'acheter les sacs de farines afin d'avoir une production conséquente de pain.
J'achèterais donc les sacs de farine au prix convenu de la cité de Troyes. Cela délaissera mon champ à la jachère tant que le nombre de pains ne sera pas assez suffisant pour faire face à la consommation de la cité.

Cordialement,

Nynaeve travaillait tranquillement dans le petit bureau qu'on lui avait attribué, quand elle eu l'impression de voir passer le bourgmestre, balucohon sur le dos, partant disctrement, il avait donc décidé de quitter le village sans nous avertir, prenant sa plume et son parchemin, elle raya son nom de la liste ds villageois.

Cela allait etre dur, sans bourgmestre, il lui fallait prévenir les autorités compétentes, aussi redigea t'elle un parchemin

Citation :

De Nynaeve, Tribun à Troyes au Duc Henri II de Champagne

Messire, je vous fait parvenir cette missive, car je crois que notre bourgmestre sieur Morzan a quitté Troyes, je en sais que faire, certes nous ne sommes uqe peu d'ame encore, mais nous devons les nourir.

Resptectueusement

Elle se remis au travail, mais entre les champs, le moulin, elle se sentait perdue

[Nan, Morzan n'est pas parti de Troyes, juste que je vais devoir m'absenter jusqu'à demain soir, il reste assez d'offres d'emploi et de pains pour tenir jusque là ]

(super alors, j'ai eu peur déjà qu'on est peu mais vous n'êtes plus noté en tant que bourgmestre ^^)) )

Après une rude journée qui finisse comme à son habitude... , fatiquante, là c'être dans le noir et sous une basse brise, qu'Aakass toca la petite porte de la mairie sur le coté...

En attendant, il fis quelques pas et regardois les habitats grace à la lune sur le coin.

Oyé ! Y a quelqu'un ? lança t'il...