[RP]Une soirée de routine pour la maréchaussée

Ah peine le Sénéchal avais fini son appel que la belle s'avança et arriva au trot qu'il fallait à un soldat

Non ...vous n'etes point en retard mademoiselle....tout juste que vous n'etes pas en avance , mais se soir , nous allons cavaler , il est mieux pour nous d'atteler nos chevaux pour cette soirée

Le Hohenstaufen pris le devant du petit groupe pour se rendre aux écuries et annonca la soirée qu'ils allaient vivres

Se soir nous sortons de la citée , des hommes sont déja partis en gardes et d'autres les remplaceront , et nous iront visiter un hameaux non loin d'ici , on y dit que des brigands y auraient élu un sorte de camp de base afin d'opérer sur Troyes et sur Provins , nous iront durant cette soirée rester aux bord du hameaux et visité un peu les abords afin de préparé un futur raides en coopération avec les forces alliées de la citée du Comte

Mittys venait de finir son discours et fit sortir les chevaux par le gardes préposé aux écuries de l'Ost

Messages : 45 Date d'inscription : 27/09/2008

A cheval? Bonne nouvelle, ça elle sait faire. Ne montrant rien, elle le regarde fixement sans se laisser démonter après l'épisode houleux du matin durant l'interrogatoire. S'il voulait la mettre mal à l'aise en jouant sur les mots, il devrait se lever tôt. De gamine espiègle, elle comptait bien devenir femme de caractère. Si elle n'était pas décidée à se laisser diriger en la Sénéchaussée, ici les choses étaient claires et acceptées.

Très bien.

Attendant la suite des opérations, elle jette un oeil aux montures que les gardes avancent. Comme les autres, elle se tait... Et apprend.

Les chevaux se font avancés par le garde , puis le sénéchal et le premier à monter sur le sien , et il se tourna vers le gueux et le Bailli

j'espère que vous savez monter un cheval ?

Il rit se retourna et quitta la sénéchaussée au triple gallo suivi de ses gardes et ne faisait plus très attention si les deux autres avaient suivi le mouvement , au dehors les derniers marchands faisait les comptes de la journée et les tavernes commencaient à s'animer , et le Hohenstaufen cria

Au porte Ouest de Troyes ! point de rassemblement

Le sénéchal lança son destryer afin de prendre la direction de l'entré de la ville qui donnait vers Provins , il voulais tout d'abord allez voir un groupe de garde qui devait se trouver dans l'une des tours de la citée fortifiée , après quelque minute il y arriva et descendit de sa monture

Garde !

tout juste Mittys avait appelé le garde que celui-ci sortit du haut de la tour avec une magnifique orriflamme au couleur de la champagne , et de Troyes , celui ci les laissa glisser le long de la parois ou les récupéra l'alsacien

Très bien sergent , et maintenant faites passer le message au tourelle et au groupe des pont-levis de ne plus laisser entrer personne sans l'oriflamme champennoise ou troyenne , seul les soldat locaux seront habilité à passer les murailles de la ville

le garde escquisca et reparti dans la tour afin de faire les signes aux autres tourelle des nouveaux ordres qui venaient d'être donné , pendant ce temps , le jeune homme avait repis place sur son destryer et pris la direction de la porte Ouest

Messages : 29 Date d'inscription : 26/10/2008

simont sur son vieil âne , suivait le sénéchal , puis il avait été armé,afin de mieux se défendre

sergent ! quel est notre but de ce soir ?

L'homme attendait une réponse, tout en cavalant sur sa monture de fortune,Ils se dirigeait vers la porte ,Ouest.
Mais où était la porte Ouest ? simont ne se rappellait pas.Il dut demander son chemin à un paysan.
Eh ! Toi l'homme avec son blé dans sa charette ! Pourrait tu m'indiquer le cheminde la porte Ouest ?
Le paysan, le regarda et sourit :
Bin M'sire vous êtes ici presque à la Porte Est ! c'est par là bas La porte Ouest !Il indiquait une direction à l'opposé que de celle que simont avait pris.
Merci bien!
Le cavalier décida alors de reprendre son chemin jusqu'à la porte Ouest, quand il fut arrivé, Le sénéchal était déja là.

Messages : 45 Date d'inscription : 27/09/2008

Il aura bien des occasions de la rendre ridicule, mais pas sur un cheval. Alors qu'il démarre en trombe en se fichant ouvertement du jeune homme au gibier et d'elle-même, Mélisande monte souplement en selle comme un homme et sans plus de cérémonie lance sa monture à la poursuite des soldats partis devant. Merveilleuse aisance que celle que lui permet cet habit. Pauvres bêtes, à peine sorties de leurs stalles les voici lancées au grand galop muscles encore froids. Apparemment habituée, la bête puissante suit sans problème la colonne de soldats. Sa cavalière qui n'a pas à rougir de son assiette, savoure simplement les foulées puissantes et vives de l'animal alors que l'air lui fouette le front. Si le Sénéchal savait le plaisir que lui procure cet instant il la ferait descendre illico pour la faire rentrer à cloche pied. Amusée, elle imagine son air pince sans rire quand il la verra à la suite de ses gardes, sans avoir été trimballée dans la souffrance, ni semée.

Après un moment, elle se rend compte que le jeune homme n'a pas suivi. Mais où peut-il bien être? Dans sa hâte à ne pas se laisser ridiculiser, elle l'a complètement oublié...

Le Sénéchal après quelque minute arriva devant la porte Ouest ou se trouvait rassembler ses hommes et ses invité de la soirée , il décida alors de la briffer une dernière fois

Nous partons en cette heure , afin de surveiller ce hameaux , je ne veut aucun action irréfléchi ou quoi que se soit , cela doit rester un passage de routine...juste voir se qu'il se passe la bas , après nous reviendrons

Mittys qui tenait dans sa main l'étendard s'approcha au pas vers le Bailli , lui sourit et lui tendit

Je voie que vous avec une belle aisance sur votre destryer , prenez l'orifflamme ! vous aurez l'honneur de portez haut et fier nos couleur

Il passa alors le pont levis et se tourna vers ses troupes

Et maintenant , nous y allons , ...groupé...nous nous arréterons lorsque je le jugerais utile

Le sénéchal lança alors sont cheval dans la nuit afin de rallier le petit bourg qu'ils avaient l'intention de surveiller

Messages : 45 Date d'inscription : 27/09/2008

Ecoutant les consignes, Mélisande ne peut s'empêcher de songer à leur comparse semé en route. Avant qu'elle n'ait pu en placer une le concernant, le Sénéchal lui donne l'étendard de l'Ost.

Haussement de sourcil. Serait-ce un compliment ou un nouveau test, un piège? Elle ne saurait le dire mais c'est fermement qu'elle prend l'oriflamme dont elle appuie le mât sur son étrier gauche pour pouvoir mener son destrier de la main droite. Une fois la porte passée, la troupe évolue à la lumière des quelques torches portées par les soldats. Plus le groupe avance, plus les maisons se dispersent puis se groupent en hameaux. S'il y faisait jour, nul doute qu'ils verraient des champs à perte de vue. Mais la nuit est noire et le petit galop des chevaux les mène quelque part où elle n'est sans doute jamais allée, bien plus loin que ce ruisseau où elle aime à rêvasser.

Mélisande à hâte d'arriver afin d'entrer dans le vif du sujet, même si elle a bien entendu les consignes : pas d'action inconsidérée... A quand les leçons promises?

Messages : 29 Date d'inscription : 26/10/2008

L'homme suivait le chemin sur son âne, certe ce n'était pas un cheval , mais une monture, que simont chevauchait parfaitement.Il vit le bailli ,quand il arriva à la porte ,celle-ci portait l'oriflamme de la ville de Troyes, Simont remarqua que le bailli avait une telle facilité a cheauché son cheval qu'on aurait cru qu'elle était née pour ça.

Après de brieve explication du sénéchel,Lorsque le groupe se mit en route , simont décida a veiller à ne pas se perdre ou avoir une mésaventure encore.
SImont observait ce qu'il se passait , Il voyait enfants jouants, mères lavant, et père finissant de ranger du bois. Les paysans s'entreaidait pour les taches dures.
Après il distinguait champs et prés à perte de vue , rare étaient les hameaux quelques ménages encore mangeaient mais la plus part étaient déja à l'heure du couché.
Le jeune Homme se demanda s'il aprendrais de nouvelles choses lors de cette chevauchée.
Mais tout à coups l'âne se mit à brayer !Simont le fit taire rapidement mais certe, il avait dpu réveiler certains de ceux qui dormaient déja.
Tout penaud il déclara au Sénéchal et à la bailli

Excusez moi , il faudra que je pense à mettre quelques sous dans un cheval , ce vieil âne , il vivait avant que je naisse !

La chevauchée se poursuivit , simont espèrait qu'avec un peu de chance il y aurait un peu d'action interessante , ou bien qu'il n'y aurait aucune embuche dans leur ronde.
Le vent venait animer les feuillages, on entendait la nature, les hiboux et chouettes, le crépitement des branches et des feuillages et le vent qui venait caresser l'herbe, comme s'il la nature avait un message à délivrer.
Simont cjercjait ce que ce message pouvait être , et réfléchissait longuement, et manqua de rater un virage . il était surement trop absorbé dans ses pensées ,mais après qu'il eut faillit encore avoir une mésaventure , il resta concentré sur cette mission.
tout en espérant pouvoir participer aux prochaines rondes ...

[A un lieue du hameau]

Le chemin dans la nuit fut assez long , et enfin au bout de trois quart d'heure le Sénéchal leva la mains comme on lui avais appris pour faire stoper les troupes à l'écoles militaires , avec ses vestiges des règles de la guerre façon romaine , Mittys se tourna vers ses troupes et pointa une petit hameaux quelque centaines de mètres plus loin

C'est la ! ... puis pointant son doigt vers un endroit assez sombre dont on en distaingiat pas grand chose , une masse sombre à une centaine de mètre du village Nous laisserons nos chevaux dans ce bois

il alla alors vers son sergent qui l'accompagnait et lui tint ces quelques paroles

Mon sergent ! Vous ferez monter le campement par vos soldat , le Bailli , le néo-soldat , et moi même iront de suite vers le hameau , vous nous rejoindrais plus tard à l'endroit prévue initialement...vous resterez au abord du village jusqu'au signal

Le sénéchal ne dit pas plus de mots et partis en direction du bois

Messages : 29 Date d'inscription : 26/10/2008

le "neo-soldat " avançait sur son âne jusqu'a que le senechal fasse signe de s'arreter.
ils mirent peid à terre et attachèrent leur chevaux.

Messages : 45 Date d'inscription : 27/09/2008

Après trois quarts d'heure, le bras portant oriflamme commence sérieusement à tirer. Mais accrochée à ce désir de ne pas passer pour une bonne à rien, Mélisande sert les dents et continue à chevaucher avec ses compagnons. Cependant, la jeune fille accueille comme un don du ciel l'arrivée d'une halte. Le bois. Encore quelques dizaines de mètres et ils seraient dans le bois. Avant de suivre le Sénéchal, elle attire l'attention d'un soldat et laisse glisser le mât de l'oriflamme afin qu'il l'attrape. Impossible de le trimballer sans monture, et si elle devait se défendre, elle serait bien empêtrée. Une fois à terre, le destrier attaché dans le bois et la troupe sur le chemin menant au hameau, elle ne peut se retenir de demander...

Maintenant que nous arrivons, pouvons nous en savoir un peu plus sur ce qui nous amène ici?

En attendant une hypothétique réponse, la jeune fille scrute les alentours se retenant de se masser le bras.

Le sénéchal venait de mettre pied à terre et fit attacher son destryer par l'un des soldats présent , puis se mit de suite en route avec le jeune homme et le Bailli laissant les soldats et le sergent finir le campement , mélisande s'adessa alors à lui

la raison de notre présence ? ...faire frémir les brigands ... un petit coup de menace pour voir leur réaction

Tout en marchant assez rapidement sur le vieux sentier qu'il venait de rejoindre il continua à avancé orriflamme à la main , qu'il avais repris entre temps pour l'utilités qu'il en avait prévu

nous allons nous rendre sur la place du village , devant le demeur du bourgmestre local...pas très fréquentable d'après se que m'a dit un éclaireur

Il regarda les deux personnes qui l'accompagnait et leur demanda d'un ton franc

j'espère que vos braies sont encore propre maintenant que vous venez d'apprendre que l'on va allez réveiller une ville de brigands ?

Il se retourna et reris le chemin du patelin qui ne se trouvait plus que à une centaine de mètre maintenant , étendard levé vers le ciel et sourire sadique sur les lèvres

Messages : 45 Date d'inscription : 27/09/2008

Il faudrait vraiment qu'elle apprenne à se battre avant de se fourrer dans des guet-apens pareils. Aller narguer des brigands sans but en se plantant au milieu d'une place? Ils vont sans doute s'attirer des amis. Ils sont trois et quoi? Qu'espère le Sénéchal? Faire le fier à bras face à une "ville de brigands"? Alors que le hameau approche et que les lueurs des fenêtres semblent de moins en moins irréelles, Mélisande ne peut s'empêcher de rétorquer sans avoir le temps de se mordre la langue.

Occupez vous donc des vôtres.

Alors qu'un léger vent se lève, la jeune fille entend l'enseigne d'une auberge grincer ce qui ne l'aide pas spécialement à apprécier froidement la découverte de la bourgade voisine. Qui y a-t-il de prévu? Pourquoi avoir laissé es soldats assez loin pour qu'eux trois puissent se faire égorger sans un bruit, sans qu'aucun des hommes ne sache ni ne puisse quoique ce soit? Il y a sans doute une raison. Du moins l'espère-t-elle alors qu'ils cheminent à présent dans le village, en silence. Seule l'oriflamme claque au vent. L'endroit est calme, bien trop calme même pour l'heure tardive...

Pendant que les trois compère taillait la route , juste après les dernières phrases du sénéchal , le Bailli lui rétorqua de plutôt allez s'occuper de ses brigands , Mittys se tourna froidement vers elle et pointa le village du doigt

Vous voyez ce charmant petit village ?...la dedans y'a au grand minimum une cinquantaine de brigand bien caché par leur bourgmestre qui les couvres et qui fait ses affaires

il s'arréta un instant regardant un peu plus loin dans la clairière ou quelque mouvement sombres avait fait surface à quelque centaine de mètre à coté d'eux dans le champs , il se tourna alors de nouveau vers le village et repris la marche tout en parlant à sa bailli

Vous voyez ?...les brigands qui vivent ...enfin occupent se hameau sont les mêmes vermines qui réalise tout les actes dans notre citées , et remettent toutes leur richesse acquises dans les bas fond de la ville...c'est un sorte de réseaux...un peu trop organiser pour nous

le sénéchal arréta son discours , et continua à avancer et dit à ses deux compagnons

Et maintenant devant la mairie !

le sénéchal accéléra le pas pour enfin entré en ville ou semblait y avoir encore une certaine agitation dans la taverne local assez immense pour un si petit bourg

Messages : 45 Date d'inscription : 27/09/2008

Et le v'là reparti à hucher alors qu'il n'a visiblement pas compris qu'elle parlait de ses braies. S'occuper de ses braies pas de ses brigands. Pfiou Dur de la comprenette et susceptible. Leur coopération sera décidément un amusement perpétuel et sans nom. Quel foutu engin ce Sénéchal.

Laissez tomber.

Que comptez vous faire s'ils décident de nous écharper? Nous sommes trois. J'dis ça, j'dis rien.

En attendant une gueulante supplémentaire qui ne ferait que réveiller tous les brigands et habitants du hameau qui n'avaient pas entendu la précédente, Mélisande suit le monsieur bien sagement. Il est tellement facile de le faire sortir de ses gonds, qu'allez savoir. Peut-être cette activité va-t-elle devenir l'une des favorites de la jeune fille. Enfin si la prochaine soufflante ne l'assourdit pas trop pour qu'elle puisse encore entendre les suivantess.

Messages : 29 Date d'inscription : 26/10/2008

Simont entendait ses supérieurs se disputer, il souria quan dil remarqua que c'était fort interessant cette discussion dont le thème était la mission. Mais le sénéchal avait surement trouvé un argument fort peu contrable : "que ferions nous s'ils décidaient de nous combattre ?'
simont dan sun moment de silence demanda :
Donc si j'ai bien compris notre but est juste d'embeter quelques dizaines de brigands ?
juste ça ... Faudrait peut être plutôt à être discret ,non ?

le pseudo-soldat se dit que messire Mittys lui demanderait q'il avait peur .,Non il n'avait pas peur, il craignait juste de mourrir inutilement sur une action irréfléchie.

Les trois compère commencaient à avancer en ville chose qui ne rassurait vraiment pas la belle Bailli , qui voyait en elle monter une sorte d'aigreur face à son vis à vis masculin , au quel elle alla adresser la parole sur le fait de leur petit nombre face à un village de brigand

Ne vous inquiétez pas ....Ne vous inquiétez pas... !...effectivement "la" nous sommes trois , c'est ceux que les brigands verront

le sénéchal ne se laissa pas plus perturber par le bailli qui fut vite suivi dans ses interrogations par le jeune homme qui les accompagnaits

les brigands ne bougeront pas très longtemps , croyez moi !...et la discrétion..ah la dsicrétion !

Mittys se mit à rire et arriva enfin devant l'hostel de ville du petit bourg , tout juste en face à quelque dizaine de mètres se trouvais la taverne ou étaient réunis les brigands et autres habitant de ce village assez trouble , l'alsacien arriva devant la cloche , prit la corde et fit sonner celle-ci afin de réveiller le hameau endormi

[HRP: désolé la semaine je suis pas très rapide^^...mais rassuré vous ça va devenir interressant pour la suite...faut que je fasse quelque PNJ Wink

]

Messages : 45 Date d'inscription : 27/09/2008

Ne vous inquiétez pas?! En voilà une qu'elle est bonne. Rudement bonne même! Serait-ce le moment d'éclater de rire? Non pas vraiment, car malgré le ton sur de lui de l'horripilant Sénéchal, elle ne peut s'empêcher de se demander ce qui va bien pouvoir leur tomber sur le groin... Les hommes laissés au bois seraient-ils redéployés autour d'eux? Mais dans ce cas pourquoi ne leur a-t-il rien dit? Leur faire peur? Très intelligent. Au coeur de cette froide nuit hivernale, Mélisande fait ce qu'elle peut. Attendre. Ce n'est ni le moment ni l'endroit pour étriper un Sénéchal, mais la chose finirait par arriver s'il ne cessait de jouer seul. La poupée de chiffon finirait par en avoir rapidement assez. Très rapidement.

Alors que la cloche sonne peut-être leurs derniers instant, la jeune fille cesse de maudire Môssieur je sais tout pour se concentrer sur d'éventuelles attaques pouvant surgir de n'importe où dans l'obscurité.