L'Auberge "Au bon accueil"

Messages : 255 Date d'inscription : 08/03/2008

Thierry quitta l'hostel de ville et se dirigea d'un pas ferme vers le quartier St Merri.
A quelques pas de la il avait remarqué quelques jours plus tot, un batiment délabré et vide.
Il passa la place de Greve, et tourna a droite.

Au beau milieu de la rue, un batiment en bien mauvais état se dressait, il donna un coup de pied dans ce qu'il restait de la porte et entra.

Décidément, il y avait du travail pour transformer cette chose en auberge accueillante, mais il trouverait bien de bonnes ames pour l'aider a réaliser son projet.

Les murs semblaient sains et les poutres du toit pas trop vermoulues. La pièce était vaste, le parquet craquait sous ses pas, il regarda l'escalier menant a l'étage, mais ne prit pas le risque d'y monter.

Bon il y a pas mal de travail a faire quand meme, mais cette batisse fera l'affaire j'en suis persuadé.

Il sorti sur le pas de la porte et chercha un endroit pour s'asseoir et regarder les plans qu'il avait amené.
L'architecte était venu lui porter puis avait disparu, il fallait trouver un homme sur a qui confier la tache de surveiller l'avancement des travaux, il se nota d'en parler a son tribun.

Je ne comprend strictement rien a ces plans, et cet architecte qui est parti étudier en Italie, je fais comment moi?

Thierry s'apercut qu'il parlait a voix haute et leva la tete, les passants le regardait d'un drole d'air.
Il sourit,
pas étonnant qu'ils me regardent tel un ahuri, si je me met a parler tout seul il doivent penser que leur Comte est devenu fou.

Thierry se leva et s'épousseta, rangea ses plans, il reprit sa route vers son bureau pour régler les derniers problèmes liés a cette batisse.

Messages : 191 Date d'inscription : 13/04/2008

l'homme descendit de son cheval et aida la personne qui l'accompagnait à faire de même. Puis se dirigeant vers la bâtiment il examina la bâtisse minutieusement . Il tapa dans quelques poutres , examina les murs extérieurs , puis à l invitation de la Comtesse de Valois entra dans la demeure . Même examen minutieux ... petite moue devant le parquet de l'étage

" Heureusement Comtesse la bâtisse est saine .. mais il va falloir refaire tout le parquet de l'étage .. sinon les clients risquent de repartir entre quatre planches après avoir traverser le plancher . Ahhhh oui c'est sur vous avez besoin de mes services .. voyons là la cuisine et derriere au fond le cellier , là le comptoir ; quelques tables et chaises , ahh oui revoir l'escalier ... prends note petit , dit l homme en s'adressant au jeune garçon qui le suivait , et fait attention ou tu mets les pieds . Comtesse restez là n'allez pas vous rompre le cou la haut je trouverais bien tout seul le chemin .

Voyons oui le parquet à refaire ... pensez à réparer les portes des futures chambres ... la charpente voyons oui c'est parfait pour cela

Bien Comtesse je vois tout à fait ps de gros oeuvres à faire mais un peu de travail pour remettre tout cela en état . Des volontaires ? sinon j'irais Place de Grève embaucher ... mais avant tout je vais aller me présenter au Prévôt de Paris de votre part ...

La Comtesse sourit

" Merci d'être venu à notre secours mon cher Henri , je ne pensais pas que vous répondriez à ma requête aussi vite .. et j'en suis ravie Je saurais m'en souvenir "

Henri répondit au sourire de la jeune Comtesse

" Ma Dame je ne peux rien refuser à votre famille , votre père a toujours était bon avec moi et sa protection m'a assuré unevie confortable je me devais de répondre avec diligence à votre demande "

Messages : 568 Date d'inscription : 09/05/2008 Localisation : La cité de Paris

[hrp : Je vais RP un peu à la fois la transformation de la bâtisse en taverne, si vous voulez RP entre deux ne vous gênez pas. J’offre 20 deniers à tous les nouveaux sur le « forum » qui poste un message en rapport avec la construction de la taverne et qui fera minimum 5 lignes.]

[PNJ: Henri]

Henri revient quelques jours plus tard, accompagné d’une vingtaine d’hommes. Ils s’arrêtèrent devant la bâtisse délabrée, Henri jeta un coup d’œil expert et se remémora ce qu’il avait noté quelques jours plus tôt : Le planché de l’étage était pourrit et le sol du rez-de-chaussée était en terre battue, les portes et l’escaliers étaient elles aussi à refaire.

Bon les gas ! Vous allez vous séparer en trois groupes, j’en veux cinq qui monte là-haut et qui m’enlève toute les portes, cinq autres s’occuperont de juger de l’état de celle-ci de voir si elles sont réutilisable. Quand vous en aurez finit avec les portes, cinq m’enlèveront tout le planché de l’étage et cinq autres s’occuperont de tout entasser dehors. Allez-y !

Une dizaine d’homme se jetèrent à l’assaut de la bâtisse et se mirent aussitôt au travail.

Henri se tourna vers la dizaine qui restait.

Bien ! J’en veux cinq qui déblaient un maximum le rez-de-chaussée et cinq autres irons faire des courses, on ne pourra rien faire sans matériel !

Cinq hommes rentrèrent dans la bâtissent se mettre au travail, tandis que Henri lui donnait une liste de matériaux à acheter avec une bourse a chacun des cinq derniers hommes.

Quand tout le monde eut reçu ses ordres, Henri commença un petit tour d’inspection pour voir comment avançaient ceux à l’intérieur.

Messages : 6 Date d'inscription : 13/11/2008

Chlotaire avait ouie dire qu'un gars chercher des bras du cote du quartier saint Merry. Il décida de s'y rendre et pourqoui pas y trouvé un petit boulot si ce n'était au chaud, tout du moins au sec. Aprés s'être fait indiqué la directionpar des badauds, il finit par trouver enfin aprés maints tour et detours l'endroit recherché.
Un homme se tenait au dehors et semblait doner des ordres a quelque hommes qui se diviserent ensuite en trois groupes.
Il s'en approcha, esperant qu'il ne serait pas refoulé, malgres une toilete toute sommaire, il ne sentait pas la rose, et ses guenilles été plutot defraichie et tachées, et cause de il n'avait pas vu le cochon passer au travers de son chemin, le faisant valser au milieu de la rue emourbée.

Hola mon sire!!
parait que tu cherche des bras?
En voilà deux. Bec de liévre pour vous sevrir.

Chlotaire attendit la réponse de l'homme

Messages : 568 Date d'inscription : 09/05/2008 Localisation : La cité de Paris

[PNJ : Henri]

Henri n’eut pas le temps d’entrer qu’un homme l’interpellait, celui-ci ne sentait pas la rose et était crasseux comme un cochon, il lui demandait du travail. Henri le regarda de haute en bas, il avait juste asse de main d’œuvre, il n’allait pas gaspiller les sous du Prévost de Paris tout de même.

Ecoute mon gas …

Il n’eut pas le temps de terminer sa phrase qu’à l’intérieur de la bâtisse on entendait un bruit de bois qui se cassait …

CRAC !

Et puis, les cris d’un homme souffrant le martyre, ce devait être un imbécile qui est passé à travers le planché de l’étage.

Henri entra dans la bâtisse et alla voir ce qui c’était passé. En entrant, la première chose qu’il remarqua ce fut le gros trou dans le planché de l’étage, preuve qu’il ne s’était pas trompé dans sa déduction. Un petit attroupement c’était formé autour de l’idiot qui était passé à travers le planché et qui maintenant criait comme une femme, Henri s’avança par mis les hommes, et regarda ce qu’avait l’homme en question, il se tenait le bras, il était sûrement tombé dessus.

Bon allé vous autres ! Remettez-vous au travail ! Et faites attention au planché de l’étage !

Les hommes allèrent reprendre leur place …

Et toi … Et bien … Sort d’ici ! Va te faire soigner chez un médicastre ! Pas la peine de revenir demain ! Je n’ai pas besoin de maladroit comme toi !

L’homme bougonna et traita Henri de tous les noms en sortant mais Henri n’en avait que faire, il était habitué à cela.

Il se tourna vers celui qui disait s’appeler « bec de lièvre » …

Tu voulais du travail ? Une place vient justement de se libérer, tu est chanceux mon garçon ! Rejoins les en haut et commence à retirer le planché ! Commence côté mur et revient vers l’escaliers et fait attention à ne pas tomber, il est pourrit ce planché !

Henri lui fit un signe de la main pour lui signifier qu’il pouvait allé s’exécuter puis il reprit son inspection …

Messages : 6 Date d'inscription : 13/11/2008

Chlotaire cru que la chance n'était pas avec lui, quand l'homme chut avec grand fracas.
Finalement le malheur des uns faisait le bonheur des autres. Non que cela lui fit plaisir de emporter une place pour le travail de cette maniére.
Il rejoignit donc le groupe qu'il lui a été designé sans remarquer le regard noir que lui lança l'un des hommes de son groupe.
Il se mit donc au travail veillant a ne pas reproduire l'erreur de son predecesseur. Commençant par le fond du premier étage il comença a arracher le plancher

Messages : 568 Date d'inscription : 09/05/2008 Localisation : La cité de Paris

[PNJ : Henri]

Les travaux durant la première journée se passèrent très bien, plus personnes ne se blessa et le déblayage eut lieu sans soucis. Le parquet du premier étage fut totalement enlevé.

Henri donna leur salaire aux ouvriers qui rentrèrent chez eux.

A demain messieurs !

Le matériel fut entreposait à l’intérieur du bâtiment pour éviter qu’il disparaisse durant la nuit.

Le lendemain, tous les ouvriers revirent, ils commencèrent par sortir le matériel pour dégager le passage.

Ensuite, Henri réunit les hommes autour de lui.

Bien ! Aujourd’hui vous allez me faire deux groupes, j’en veux une dizaine qui travail à restaurer la cave, elle est encore en bonne état mais nécessite un entretien.

Et j’en veux une autre dizaine qui installe le nouveau parquet du premier étage. Travailler par deux, un qui prend les mesures et installe les planches et un autre qui s’occupe de les couper à la bonne longueur et de les apporter. La surface est suffisamment grande pour faire cinq groupes de deux.

Au travail !

Et les hommes se mirent au travail tandis qu’Henri faisait son petit tour …