l'arrivé en ville du jeune Gardakan

Messages : 247 Date d'inscription : 15/04/2008 Age : 37

Le jeune Gardakan aperçoit enfin les toits de la ville de Paris. Il a quitté son sud ouest natal pour se rendre icelieu afin d'y honorer les dernières volontés de celui qui l'avait sauvé, éduqué et aimé: celui qu'il considère comme son père le Seigneur de Corbiac et de Magudas.

Cet homme l'avait recueilli alors qu'il avait 8 ans, ses parents furent emportés non par une maladies mais par une lame d'épée: 35 centimètres dans le ventre ça ne laisse pas indiffèrent. Les coupables: ni plus ni moins que des hommes d'armes du Seigneur Gontrand; 2 jours après leurs méfaits les pauvres ont eu un accident qui a séparé leurs têtes du reste de leurs corps; accident du nom de "mort" ou quelque chose comme ça.

Afin de réparer l'ignominie de ses hommes le Seigneur a donc élevé comme son propre fils le jeune Gardakan. Bien qu'étant initié aux lettres, a la musique ainsi qu'a l'art c'est dans un domaine bien plus utile que l'enfant a très vite tirer son épingle du jeu: le maniement des armes et les stratégies de guerre.

A partir de ses 17 ans et jusqu'à 23 ans c'est donc sur un champ d'entraînement et dans une bibliothèque militaire que Gardakan a donc évoluer, au grand désespoir des damoiselles du château qui se seraient faites une joie de lui faire visiter les alentours du domaine.
A 25 ans il devient le maistre d'arme du domaine pour le plus grand honneur de son "père". Il est désormais responsable de former les jeunes au grand art du combat ou il excelle. Mais vint l'hiver froid et rude, l'humidité est partout et s'installe jusque dans le thorax du Seigneur. Après des semaines le souffrance désormais Feu le seigneur de Corbiac et de Magudas s'etteint. Le seigneur est mort: vive le seigneur.
Son avorton et stupide fils prend alors place d'honneur dans le grand'salle du château.
Écoeure par tant de stupidité Gardakan prend son baluchon, ceint son épée et décide de quitter les lieux.
Le jour de son départ alors qu'il range ses dernières affaires le guerrier entend trois coups secs a sa porte

oui? Qui demande a me parler?

Cybille, la servante de feu le sage seigneur de ces lieux; messire maistre d'arme... J'ai ici un plis scellé que le seigneur souhaitait que je vous remette. Il l'a rédigé sur son lit de mort. Je vous le glisse sous la porte;

Après avoir entendu des bruits de pas s'éloigner Gardakan se saisit alors du mot.

Écriture tremblante, papier froissé, mais le trait du seigneur est reconnaissable:

Citation :: Mon fils, bien que ne t'ayant point accordé ce titre je t'ai toujours considéré comme tel et tu le sais. Mon fils legitime est un imbécile arrogant et il ne te mérite pas je te donne donc le dernier de mes ordres:

Rejoins Paris et offre ton bras au Roy et la couronne. ; annonce que tu viens de ma part et montre cette lettre avec mon sceau en gage de ta bonne foy

je t'aime Gardakan.

La destination est maintenant toute trouvée. Paris.

Voila comment le jeune et beau jeune homme se retrouve devant les portes de la villes après quelques jours de chevauché.
Le guerrier descend de son cheval et sort son épée, de la garde il frappe trois coups secs sur le lourde porte du poste de garde

Messages : 5 Date d'inscription : 16/04/2008

Les portes de la ville venaient d'être fermées ... le vieil Alphonse avait hâte de pouvoir dépenser dans une des auberges du quartier les piécettes offertes par le cavalier à la magnifique monture la journée même après la relève qui devrait pas tarder .

Au moment où ils se décidaient à partir lui et son jeune collègue entendirent frapper aux lourdes portes de la ville . le jeunot faisait celui qui avait pas entendu mais Alphonse le reprit

" Allez petit monte voir ce que c'est en attendant la relève et .. allez dépêche monte voir ce qui se passe "

Le petit jeune monta les marches et regarda au dessus de la muraille

" Y a un cavalier Alphonse ... seul apparamant armé .. "

Alphonse s'approcha de la porte et ouvrit la petite lucarne grillagée et lança

" Qu'est ce que c est que ce boucan .... vingt diou les portes sont fermés pour la sécurité des honnêtes citoyens .. qui que vous soyez déclinez votre identité et les raisons de votre arrivé si tardive "

il attendit la réponse ...

Messages : 247 Date d'inscription : 15/04/2008 Age : 37

Gardakan remet son épée au fourreau.

Son cerveaux fonctionne a plein régime, il sait que sans une excellente idée il va rester dehors ce soir.
Avec un grand sourire il déclare:

Je suis Gardakan, je dois me rendre au plus vite chez la comtesse de...heu...de Vaux de Ville. J'ai un message de son frère souffrant qui veux la voire au plus vite. Puis je entrer je vous prie c'est une question de vie ou de mort.

Messages : 5 Date d'inscription : 16/04/2008

Une grimace défigura Alphonse.

Heinnn. Qu'essequidit le bon monsieur. La quoi? La qui? La Comtesse de Vaux de ville?
Veut certainement dire la Comtesse de Valois heinn.

Se tourne vers l'autre garde.

T'entends ça, La Comtesse de Vaux de ville qu'y dit le Monsieur.

Gros éclat de rire.

Bon tendez jvous ouvre. Alors la maison des Valois c'est pas bien compliqué. C'est sur la rive gauche mon brave. Une grande bâtisse donnant dans la grande rue. Ya l'blason au d'ssus de la porte. Pouvez pas vous trompez.
Son frère qu'est malade alors, ben ma foy. Portez donc votre message

Et le garde ouvrit la porte pour le laisser passer.

Messages : 247 Date d'inscription : 15/04/2008 Age : 37

Le jeune homme s'incline bien bas dissimulant un grand sourire.

Merci mon ami, je voulais biensure parler de la comtesse de Valois oui... ça ne peut être qu'elle n'est ce pas.

tout en entrant Gardakan observe le garde d'un sourire amusé

si nous nous recroisons un de ces jours pensez a me réclamer un verre.

Puis sans autre formalité le jeune guerrier entre dans la ville et disparaît dans une rue.

» [RP] Sortie en ville
» Aux portes de la ville